Summary: Quelques poèmes pour chanter nos héros de Bonanza
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Requeil de poems bonanzesques
Chapter 1: Alphabet Bonanza
Amis de Bonanza, A, A, A
Allons sans tituber, B, B, B,
Sans jamais nous lasser, C, C, C
Et sans raison garder, A, B, C, D
Lever un verre ou deux, E, E, E
Au ranch et à son chef, F, F, F
]Nous nous sommes engagés G, G, G
Faut que chacun le sache, E, F, G, H
A dire de la série, I, I, I
Que c’est de la magie, J, J, J
Un délice, en tout cas, K, K, K
Une histoire immortelle, I, J, K, L
Les Cartwright, on les aime, M, M, M
Le patriarche Ben, N, N, N,
Hoss, Adam, petit Joe, O, O, O
Au lever, au souper, M, N, O, P
Soyez bien convaincus, Q, Q, Q
Que les fils et leur père, R, R, R,
Pour nous serons sans cesse, S, S, S,
Un sujet de fierté, Q, R, S, T
Maintenant qu’on a bien bu, U,U,U,
Le vin il faut cuver, V,V,V,
L’moral est au beau fixe, X,X,X,
Le champagne nous aide, U,V,X,Z.
Et je n’ai rien trouvé pour Y et W !
Chapter 2:
Poème inspiré par l’épisode « A la conquête d’Abigaïl Jones
Poème inspiré par l’épisode « A la conquête d’Abigaïl Jones
Pendant des années entières
Dans les forêts ou déserts
Il n’avait pour se distraire
Que sa guitare et ses frères
Il était célibataire
Guetté par tant d’héritières
A ces chipies, il préfère
Sa guitare et puis ses frères
Abigaïl était la fille
Qui voulait l’aimer toujours
Mais elle a gâché sa vie
En imposant son amour
Sol do mi sol fa mi ré
Mon Adam, adoré
Sol si ré fa mi ré mi
Bel ami, bel ami
Sol do mi sol fa mi fa
Souviens-toi, souviens-toi
Méfie-toi de petit Joe
Sol ré do si do mi sol do.
Il partit en promenade
Afin d’aider Hank Meier
Pour chanter la sérénade
Sa guitare en bandoulière
Il s’assit en grand mystère
Sous son balcon de bois noir
Il chantait d’un cœur sincère
Elle en conçut de l’espoir
Sol do mi sol fa mi ré
Mon Adam, adoré
Sol si ré fa mi ré miBel ami, bel ami
Sol do mi sol fa mi fa
Souviens-toi, souviens-toi
Méfie-toi de petit Joe
Sol ré do si do mi sol do.
Fermant ses yeux aux longs cils
Pour chanter ses tendres vers
Il ne vit pas Abigaîl
S’approcher, ni fuir ses frères
Etant tombé sur un bec
Redoutant qu’elle ne le ferre
Il partit en hâte avec
Sa guitare et sans ses frères
Sol do mi sol fa mi ré
Mon Adam, adoré
Sol si ré fa mi ré mi
Bel ami, bel ami
Sol do mi sol fa mi fa
Souviens-toi, souviens-toi
Méfie-toi de petit Joe
Sol ré do si do mi sol do.
Adam rentre à Ponderosa des années après son départ
Je ne suis qu’un voyageur
Qui chemine jour et nuit
Je ne suis qu’un voyageur
Et je retourne au pays
Je n’ai plus que mon cheval
Mon cheval et mes habits
Des bottes qui me font mal
Et je retourne au pays
J’ai couru le monde
Mais ma raison
M’a dit que le monde
C’était ma maison
Je ne suis qu’un voyageur
Solitaire et fils maudit
Et je sens battre mon cœur
Car je retourne au pays
J’ai quitté mon père
Qui m’avait dit
Va courir la terre
Si c’est ça, ta vie
Je ne suis qu’un voyageur
Il ne m’a jamais écrit
Et maintenant, moi, j’ai peur
De retourner au pays
Chapter 4: Les prenoms de Marie Cartwright
L
orsque j’ai vu ta blondeur
O Marie Splendeur
L’amour inonda mon cœur
O Marie Bonheur
Tu brillais comme une étoile
Marie rayonnante
Tu m’as piégé dans ta toile
Marie séduisante
J’aimais tant ta mine altière
O Marie la Fière
Je regrette à tout jamais
Marie Mois de Mai
Que tu aies été, ma chère
Marie Cavalière
Je t’aurais aimée longtemps
Marie mon Printemps
Nous aurions eu plein d’enfants
Marie la Maman
Tu m’en laisses un, petit Joe
Marie Qu’il est beau !
J’assure son avenir
Marie souvenir
Hélas, il n’a plus sa mère
Marie Cavalière
Ce poème m’a été inspiré par l’épisode Gabrielle
Oh, quand j’entends chanter Noël,
Je vois la grande cheminée
Quatre hommes enlacés
Chantant de tout cœur
Leur tendresse et leur bonheur
Oh quand j’entends sonner au ciel
L’heure où le bon vieillard descend
Je sais que pour l’enfant
Sans vue, le géant,
Hoss, deviendra père Noël
A Ponderosa, la nuit de Noël
Les Cartwright ont le cœur content
Oh, si par un soir de Noël
J’arrive au ranch le cœur battant
Le sapin, sûrement
Sera scintillant
Le feu sera réchauffant
Notre veillée sera si belle
Tandis que nous raconterons
L’histoire du poupon
Qui par sa naissance
Nous a rendu l’espérance
A Ponderosa, quelle nuit de Noël
Avec Ben, Hoss, Joe et Adam !
Cette nuit qui est fête au ciel
Est fête aussi sur cette terre
Les hommes sont frères
Près du sapin vert
La famille se resserre
Comme les Cartwrights à Noël
A nos amis ouvrons les bras
Et cadeau ou pas
Un sourire sera
Le témoin de notre joie
A Ponderosa, la nuit de Noël
Tout le monde a le cœur aimant
Chapter 6:
Du Nevada
Qui parcourons notre province
A hue et à dia
Pour enrichir le beau domaine
Que créa notre père
A grand sueur et à grand peine
Pour ses trois fils sans mère
Comme autrefois, les trois rois mages
En Orient
Il prit la route avec courage
Portant l’enfant
Que lui avait donné sa femme
A qui il avait juré
Juste avant qu’elle rende l’âme
Qu’à l’Ouest il partirait
L’étoile à travers la campagne
L’a mené
Là où sa nouvelle compagne
Inger, l’attendait
Ce tendre amour fut éphémère
Comme au soleil la neige
Huit jours après qu’elle fut mère
Elle périt dans un piège
Notre père a repris sa route
Le cœur brisé
Sans laisser désespoir ni doute
Le faire plier
Les deux enfants s’étaient blottis
Dans la caravane
L’aîné réchauffant le petit
Comme à Jésus fit l’âne
Quand il trouva sa terre promise
Il la baptisa
De la sueur de sa chemise
Ponderosa
Y installa sa belle amie
Qui bien sûr lui donna
Joseph : elle se nommait Marie
Nul ne s’en étonna
Pour le Dieu qui naît à Noël
N’avons point d’or
Ni de parfums pour l’Eternel
Comme Melchior
Mais nous offrons aux délaissés
Aide et assistance
Et pour consoler l’attristé
Notre plus chaude ambiance
Alors si par projet volontaire
Ou par hasard
Vos pas vous mènent sur nos terres
Cherchant Gaspard
Ou l’un des deux autres rois mages
Laissez l’or, trouvez un banjo
Un cheval pour tout équipage
Ils ont nom Adam, Hoss et Joe
Chapter 7:
Douce nuit
Sainte nuit,
C’est Noël, aujourd’hui
Et pendant que les clochers joyeux
Carillonnent à la voûte des cieux
Sous le toit des Cartwright
On a le cœur bienheureux
La fumée fuit
Tandis que luit
La flamme des bougies
Ben, heureux, contemple ses garçons
Fredonnant une douce chanson
Chantez en chœur tous les Cartwright
Adam vous donne le ton
Joseph sourit
Hoss avec lui
Gentiment, se réjouit
Sans un bruit, Hop-Sing se joint à eux
Ils sont là tous les cinq, bien heureux
D’être ensemble, tous les Cartwright
Pour rendre grâce au bon Dieu
Chapter 8:
Tu pars au loin vivre ta vie
Ne pleurons pas sur ta folie
Sur nos regrets, sur nos envies
Il faut chanter quand la coupe est bien remplie,
Buvons encore, une dernière fois,
A la fraternité, la joie,
On fêtera les retrouvailles
Ca fait d’la peine, faut-il vraiment que tu t’en ailles ?
Oublieras-tu tous nos étés
Ou l’on bossait à satiété ?
On s’est parfois bien bagarrés
Mais tout s’est toujours fini dans la gaieté.
T’étais l’aîné, la référence
Et le mentor de notre enfance
C’lui en qui nous avions confiance
Rien ne semblait être au-dessus de ta science
Buvons encore, une dernière fois,
A la fraternité, la joie,
On fêtera les retrouvailles
Ca fait d’la peine, faut-il vraiment que tu t’en ailles ?
Quand il y a eu des jours de crise
Souvent, tu nous sauvas la mise
Tu retroussais tes manches de ch’mise,
Au p’tit matin, t’avais parfois la mine grise.
Mais quand tu rêvais aux étoiles
Que tes yeux se couvraient d’un voile
On savait c’qui t’rongeait la moelle
On devinait qu’un jour tu mettrais les voiles
Buvons encore, une dernière fois,
A la fraternité, la joie,
On fêtera les retrouvailles
Ca fait d’la peine faut-il vraiment que tu t’en ailles ?
Chapter 9:
Le vent des aventuriers souffle dans ma tête
Il me pousse à partir faire la conquête
De ces forêts encore vierges où les grands pins verts
Vont défier le ciel d’azur, si fiers
Le vent qui souffle vers l’Ouest a pris ma raison
Il m’a dit : tu bâtiras ta maison
Pour y loger ton amour et tes beaux garçons
Tout là-bas, où rougeoie l’horizon
Le vent qui rend fou les sages a soufflé en moi
Et m’a fait abandonner sans émoi
Tout ce qui, avant son œuvre, avait fait ma vie
Je suis parti, je l’avais promis
Le vent qui m’a emmené, loin m’arrêtera
Je saurai, le jour où il tombera
Que nous serons arrivés enfin au pays
Où Dieu a voulu placer ma vie
Chapter 10:
J’ai posé un baiser tout au creux de ta paume
Comme on fait à l’enfant qui vient de se blesser
Pour nos deux cœurs percés c’était un piètre baume
Mais tu tendais la main, alors, je l’ai posé
Et ce geste exprimait la profonde détresse
Et l’infini chagrin, et le cri silencieux
Et l’amour dévasté, et l’immense tendresse
Un geste pour masquer l’amer goût des adieux
Et moi je ne voulais t’offrir, main bien aimée
Qu’un hommage parfait, qu’une extrême douceur
Je l’ai saisie, ta main et je l’ai retournée
Avec mes lèvres alors, j’y ai posé mon cœur
Chapter 11:
En partant,
Sur ton coursier imaginaire
En partant,
Seul cavalier, seul en chemin, seul au monde
Tu as laissé ceux qui t’aimaient dans le chagrin
En partant, notre Adam
Et farewell, adieu, so long, vaya con dios
Que le ciel te donne ce que tu cherchais
Hier encore, tu chevauchais à travers le désert
Dieu que ce temps, que ce temps était bon
En partant, sur un bateau imaginaire
En partant
Avec ta foi pour océan
Tu as vu nos vertes prairies disparaître
Brusquement
Loin des cieux, loin du temps
Et farewell, adieu, so long, vaya con dios
Que le ciel te donne ce que tu cherchais
Hier encore, tu chevauchais à travers le désert
Dieu que ce temps, que ce temps était bon
En marchant, sur les chemins de notre terre
En marchant, sur nos vieux chemins de poussière
Chaque instant
Qu’il nous sera donné de vivre
Nous en ferons des légendes pour les enfants
Et farewell, adieu, so long, vaya con dios
Que le ciel nous donne ce que nous cherchons
Demain encore nos rêves te permettront de revivre
Dieu, que ce temps, que ce temps sera bon
Chapter 12:
Non, Joe, tu ne sais pas
Ce qu’il en a coûté d’avoir Ponderosa
Quand tu étais enfant, si parfois il pleuvait
Tu pouvais jouer dehors et puis, pour te sécher
Le bois flambait au fond de notre cheminée
Moi, quand j’étais enfant, si parfois il pleuvait
Sous la toile, il fallait me recroqueviller
Nous n’avions rien de plus, rien pour nous protéger
Des refroidissements que Papa redoutait
Vulnérables à l’excès, nous étions voyageurs,
La moindre maladie était, pour nous, danger
Près d’une ville encore, on pouvait espérer
Trouver l’apothicaire, encor mieux, le docteur
Pa devait travailler pour pouvoir le payer
Pendant que j’attendais, seul, toute la journée
Qu’il m’apporte un remède et du pain. Pas de beurre…
Mais si, manque de chance, on était en chemin,
Sous une couverture, il m’enveloppait bien,
M’embrassait et serrait fébrilement ma main,
Puis repartait, priant pour qu’il n’arrive rien,
Qu’on ne rencontre pas de bandits ni d’Indiens
Qu’à l’étape, un peu d’eau nous rafraichisse un brin
Et qu’il ait du gibier pour nourrir son gamin.
Car nous n’étions pas sûrs de manger tous les soirs
Papa me laissait seul pour partir à la chasse
Il posait des collets, des pièges, dans l’espoir
D’attraper Dieu sait quoi, la bestiole qui passe.
Tout faisait ventre alors, un rat, un petit loir
Je me mis à aimer l’automne où l’on ramasse
Le champignon marron, aussi la mûre noire.
Quand Inger est venue renforcer la famille
Ce fut la grande joie, j’avais une Maman
Elle était la douceur, la lumière qui brille
Et la voix qui apaise. Je l’aimais tendrement.
Jamais je n’aurais cru que ce bonheur vacille
Aussi rapidement, qu’en un peu moins d’un an
La mort viendrait, cruelle, y passer la faucille
Je me revois, tenant, serré fort dans mes bras
Mon nouveau petit frère, Hoss, qu’on m’avait confié,
J’ai vu mourir Inger dans les bras de Papa
En pays inconnu, nous l’avons enterrée
Dans un trou de colline au fond du Nebraska
Et j’ai cru que Papa, jamais n’arrêterait
De pleurer. Oh, ce jour, je ne l’oublierai pas.
Non, Joe, tu ne sais pas
Ce qu’il en a coûté d’avoir Ponderosa
Chapter 13:
Il faut bien que je m’y attelle
A dire qui j’aime vraiment
Entre l’interprète, Pernell
Ou bien le personnage, Adam
Lorsque son regard étincelle
Fusillant lâches et brigands
Est-ce la fureur de Pernell ?
Est-ce la colère d’Adam ?
Et quand se voile sa prunelle
Pour fixer un peu tendrement
Une femme, est-ce vous Pernell ?
Ou est-ce toi, plutôt, Adam ?
Bien sûr, la question m’interpelle
Ce sourire un peu insolent
Appartient, bien sûr, à Pernell
Mais il te va si bien, Adam
L’acteur a campé avec zèle
Un cow-boy sérieux mais fringant
Qu’as-tu gardé de toi, Pernell ?
Que n’aurait pas reçu Adam ?
Peu importe, je suis de celles
Qui font de l’amour en rêvant
Si ta vie est à toi, Pernell
Je peux créer celle d’Adam
Ce qui trottait dans ma cervelle
Devient soudain clair, aveuglant
Je t’admire beaucoup, Pernell
Mais c’est bien toi que j’aime, Adam
Chapter 14:
A chanter sur l’air de La maladie d’amour de Michel Sardou
Il court, il court, cet air plein de gaieté
Le long du télégraphe, tu pourras l’entendre chanter
C’est le refrain que devant son miroir
Joe sifflote, insouciant, en pensant au bal de ce soir
Et comme il contamine
Les gens dans la chaumine
Levant sa poêle à frire
Hop-Sing se met à rire
Sans raison, pour des prunes
Secouant sa tressebrune
Il se laisse agiter
Par son hilarité
Qui gagne Adam, voilà le fils aîné
Qui saisit sa guitare et puis commence à fredonner
Y’a tant d’entrain dans son joyeux refrain
Que soudain son cadet songe à jouer de son crincrin
Et toute cette musique
Dynamique et magique
Cet air joyeux qui traîne
A la fin atteint Ben
Et tout le monde en chœur
Laisse éclater son cœur
C’est un moment d’enfance
Un instant d’insouciance
Il court, il court, quand à Ponderosa
Les garçons et Papa
Les Cartwright ont le cœur polka
Chapter 15:
Ranch de Ponderosa : la maison a dix ans.
C’est un jeune ingénieur qui en a fait les plans
Concepteur, bâtisseur mais aussi habitant
Dans la tribu Cartwright, celui qu’on nomme Adam
Il l’a créée solide et vaste et accueillante
Sous le porche, un auvent assure la fraîcheur
Et dans la grande salle, pour donner la chaleur
L’hiver, la cheminée, il l’a voulue géante.
La maison sent le pain quand le matin se lève
Et le soir on dirait que les pins pleins de sève
Dont elle est faite, encore sentent la résine
La maison a pris l’âme de cette famille
Dans le sol, invisibles, poussent des ramilles
Car, magique, ce ranch en terre s’enracine.
Chapter 16:
Si tu peux voir mourir par trois fois l’âme sœur
Pourtant, sans perdre espoir, à nouveau rebâtir
Si tu peux la garder, tout au chaud dans ton cœur
Mais au nouvel amour, donner sans retenir
Si tu peux, en dépit de la mort de ta femme
Ouvrir ton cœur à ceux qui, fuyant l’injustice,
Ont tiré cette flèche, origine du drame
Si tu sais pardonner et signer l’armistice
Si tu peux être un père efficace, exigeant
Sans rien perdre en respect ni en compréhension
Si tu connais tes fils, les sachant différents
Et leur donne à chacun toute ton attention
Si tu peux bravement, t’atteler à la tâche
Sans souci de tes yeux brûlés par la sueur
Si tu peux travailler, jour et nuit, sans relâche
Pour bâtir un domaine digne d’un grand seigneur
Si tu sais faire usage de toute ta richesse
Pour mieux la partager avec les malheureux
Et si tu multiplies alentour tes largesses
Attentif à tes biens et pourtant généreux
Si tu sais te dévouer à ce grand territoire
Où tu as décidé de planter ton drapeau
Ecrivant une ou deux pages de son Histoire
Et t’engageant pour lui, même en risquant ta peau
Si tu peux susciter beaucoup de jalousie
Sans te laisser aller, jamais, à la vengeance
Et, gardant tes principes de tout compromis,
Si tu sais malgré tout offrir de l’indulgence
Alors, loué, chanté par la postérité
Tu seras célébré au-delà de ta vie
Mais, ce qui vaut bien mieux que toute renommée
Tu seras Ben Cartwright, mon fils !
Chapter 17:
Poème en cinq lignes écrit à l’occasion du 18 mai 2011
Adam, Adam, Adam, ce nom chante en mon cœur
Brillant et brave et beau est l’homme qui le porte
Clairs et bons sont ses yeux, et son sens de l’honneur
Dans sa voix transparait, sa voix tendre ou bien forte
Adam, Adam Cartwright, je t’aime avec ardeur